SYNOPSIS

Alors que plus de 90% des salariés français sont désengagés, la phase d’intégration d’un nouveau collaborateur, ou onboarding, est souvent négligée. Pourtant, il faut être sympa avec les nouveaux. Lorsqu’il est réussi, l’onboarding augmente le taux d’engagement du collaborateur, améliore sa perception de l’entreprise ou encore facilite la compréhension des attentes liées à son poste. L’inverse est tout aussi vrai.

 

Les premiers jours passés dans une nouvelle entreprise marquent particulièrement tout nouveau collaborateur. Leur intégration ne se limite pas à l’ouverture d’un compte mail et à l’édition d’un nouveau badge : un nouveau a besoin d’en moyenne une année pour s’approprier totalement son poste. Certaines entreprises la jalonnent avec des entretiens, d’autres désignent des mentors. Si les méthodes divergent, il est certain qu’une intégration ratée est lourde de conséquences.

 

L’intégration vise à rendre le collaborateur autonome dans son travail et à lui transmettre des valeurs ou un sentiment de cohésion. Le processus de recrutement est déjà assez compliqué pour en rater la conclusion.

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